Organisation d'une battue administrative | Vendredi 1er décembre à Vannes et Arradon
En octobre dernier, d’importants dégâts ont été occasionnés par le passage de sangliers sur le secteur sud-ouest de la commune de Vannes aux environs des quartiers de Bernus, de Campen et de Cliscouët en lien avec la zone naturelle du Vincin.
Afin d’éviter l’installation et le développement des sangliers en milieu urbain et périurbain du fait des risques que cela entraîne (dégâts aux parcelles, accidents routiers, accidents corporels, voire risque sanitaire), et afin de réguler la population de sangliers, une opération de «battue administrative» pilotée par des lieutenants de louveterie désignés par le préfet, est prévue le vendredi 1er décembre entre 9h30 et 11h30 sur la commune de Vannes dans le secteur de Bernus et Cliscouët ainsi que sur la commune d’Arradon dans le secteur de Campen, Keranna.
Dans ce cadre, et afin de limiter les risques, la zone de battue est interdite au public. Les axes routiers à proximité de la zone d’intervention et les chemins de randonnées seront fermés à la circulation ainsi que les différents accès à ces routes et chemins. (Voir plan ci-dessous)
Seront fermés à la circulation le vendredi 1er décembre de 8h à 14h sur la commune d’Arradon :
- Les sentiers côtiers entre le pont du Vincin et la cale de Moreac
- La route de Corn Er Houët
- La route de Roguedas (portion entre le chemin de Kergen et la route de Moreac)
- L’ensemble des sentiers piétons situés dans le triangle Campen / Guhuet / Kerguen seront fermés à la circulation piétonne.
Seront fermés à la circulation, le vendredi 1er décembre de 9h30 à 11h30 sur la commune de Vannes :
- Sur le Boulevard des îles, la portion de route allant du giratoire du vincin jusqu’à la rue Tamara de Lempicka. Une déviation est mise en place par la rue du Vincin.
- L'ensemble des chemins littoraux seront également fermés à la circulation piétonne.
Un affichage aux abords de la zone ainsi qu’une information auprès des riverains du secteur ont été effectués par les communes.
Cette opération, très encadrée, doit permettre de réguler une surpopulation de sangliers, source d’importants dégâts et déséquilibres.
